Carlos Pinto Da Silva est curé au diocèse d’Abaitetuba à côté de Belém dans le delta que forme l’Amazonie au Nord du Brésil. En charge du diocèse, il anime notamment une radio locale et est aumônier de la prison de la commune. Carlos est par ailleurs un ancien élu municipal et continue à s’impliquer dans la vie de la commune dont il est le secrétaire à la santé – à la tête d’un budget qui représente 15% du budget communal. Sur la commune, il a également développé un centre d’accueil pour les personnes dépendantes (drogue, alcool…).
Ouaziri Ouatchome est membre du Réseau des Praticiens du Développement. Employé au sein du service dédié à la coopération décentralisé de la ville de N’Djamena (Tchad), il a fait l’expérience de l’évolution des relations entre la ville et ses partenaires françaises, lybiennes, chinoises ou encore soudanaises.
Henri Dupassieux a exercé pendant 27 ans à l’ASDER (Association Savoyarde pour le Développement des Énergies Renouvelables), comme conseiller au sein d’un espace info-énergie. Il accompagnait des stratégies de territoires sur les politiques de transition énergétique, ce qui incluait une activité de conseil et une activité de formation.
Josette Abbadie est coordinatrice habitat à l’association ARTAG (Association Régionale des Tsiganes et de leurs amis Gadgé), qui intervient auprès du public des gens du voyage. L’ARTAG agit sur différentes thématiques (logement, éducation, insertion…) car elle estime que les interactions avec les gens du voyage doivent se faire de manière globale pour être efficaces et permettre une vraie politique publique.
Interview de Gérard Laleye, chargé de programme redevabilité et infrastructures au bureau de la coopération suisse au Bénin. Il accompagne 37 radios communautaires et de proximité et la société civile autour du contrôle citoyen
Morrel Mokosso a créé l’association d’éducation populaire ADJD (Auprès Des Jeunes Démunis) qu’il développe depuis 2008 et qui travaille à la fois à Bangui et à Rillieux-la-Pape. L’ADJD utilise des leviers comme le sport, la culture ou le commerce pour intéresser des jeunes démunis à la vie en société, travailler sur le vivre ensemble et les questions de citoyenneté.
Benoît Lecomte est membre du réseau des praticiens du développement et travaille au GRAD (basé en Suisse), une organisation d’appui pour les organisations paysannes en Afrique. Il travaille depuis quelques années sur l’usage du numérique comme accélérateur du développement, notamment dans les milieux ruraux.
Découvrez Parfait Randrianitovina, membre du Réseau des Praticiens du Développement et spécialiste de la gouvernance à Madagascar