Les maires, en voyage de travail en France, ont pris du temps pour témoigner auprès des professionnels en formation au CIEDEL, lors du module « Financement du Développement Local« . Ils ont pu partager leur expérience sur les outils financiers dont ils disposent pour assurer le fonctionnement de leurs communes, mettre en œuvre les politiques publiques et
Le CIEDEL propose de former les professionnels qui pourront agir et construire des réponses aux enjeux de la citoyenneté. Objectifs Acquérir la capacité à penser et conduire des projets de développement local où les personnes se prennent en charge, retrouvent des degrés de liberté au quotidien, veulent et peuvent exercer leur responsabilité dans l’espace public
Rencontre avec le Directeur de l’Agence Régionale de Développement des Hauts-Bassins (Burkina Faso), un dispositif innovant de financement et de renforcement de capacité Sud-Sud appuyé par le CIEDEL et la Région Rhônes-Alpes.
Benoît Lecomte est membre du réseau des praticiens du développement et travaille au GRAD (basé en Suisse), une organisation d’appui pour les organisations paysannes en Afrique. Il travaille depuis quelques années sur l’usage du numérique comme accélérateur du développement, notamment dans les milieux ruraux.
L’intelligence collective est la somme des intelligences individuelles, les interactions en plus. Elle est l’alchimie de capacités complémentaires, d’intelligence et des interactions. Elle est donc bien supérieure à l’Intelligence de chacun des membres d’un groupe. Il ne suffit pas de juxtaposer les intelligences individuelles, il faut les potentialiser, les transcender pour créer de l’intelligence collective.
Tous les ans, une dizaine d’hommes et femmes de tous les milieux sociaux suit les cours dispensés par des intervenants Egyptiens et Français. L’objectif est de former une génération de coptes engagés dans la société. Plusieurs personnes parmi les diplômés des premières promotions sont désormais formateurs au côté des formateurs CIEDEL et IDHL, dans une
En 2010, la crise électorale et la situation politique en Haïti avaient rendu mon travail de terrain très complexe. J’ai donc choisi d’aller me former au CIEDEL pour pouvoir par la suite mieux accompagner les habitants de mon territoire. Grâce à la formation, j’ai pu me repenser en tant qu’acteur et mieux définir le rôle
« En 2004 j’ai acheté un manuel sur la recherche de financement pour tenter d’accompagner des projets. J’ai rédigé deux projets intitulés sur l’agriculture familiale et l’appui à l’activité des femmes, que j’ai envoyé à des ONG dont j’ai trouvé l’adresse dans ce manuel. Malheureusement les discussions n’ont pas abouties. C’est là que je me suis
« Malheureusement, j’ai observé que beaucoup des programmes de santé mis en place n’apportaient pas de réels changements positifs dans la communauté. Les gens n’étaient pas impliqués dans ces programmes et, du coup, n’arrivaient pas à se les approprier. Je me suis beaucoup questionnée. Le CIEDEL m’a permis de progresser à plusieurs niveaux. J’ai développé des